Mercredi, Vivendi a annoncé que l’investisseur activiste Vincent Bolloré, qui détient environ 5% du capital, serait nommé vice-président du conseil de surveillance. En outre, le conseil de surveillance va lancer l’étude d’une scission de SFR. La décision finale devrait être prise début 2014, avec un vote des actionnaires durant l’assemblée générale de cette année. Comme Bolloré est administrateur, et qu’une séparation
de SFR était déjà considérée comme fort possible, nous ne modifions pas notre estimation de la juste valeur et de notre évaluation de l’avantage concurrentiel (« moat ») à ce stade. Nous sommes satisfaits que le groupe progresse dans la réduction de sa décote de holding, car nous pensons que le marché continue de sous-évaluer le groupe tant d’un point de vue fondamental que d’un point de vue patrimonial (somme des parties).