Mercredi 18 mars, la pandémie de coronavirus approchait la barre des 200.000 personnes affectées dans le monde, selon l'Organisation Mondiale de la Santé.
D'une simple épidémie issue de la région de Wuhan en Chine, elle s'est répandue comme une trainée de poudre à l'ensemble de la planète en quelques semaines, et obligeant plusieurs pays, dont la France, à prendre d'importantes mesures de confinement.
Vous trouverez ci-après l'ensemble des articles écrits au sujet du coronavirus, destinés avant tout à aider les investisseurs à prendre du recul et les bonnes décisions de gestion de leur épargne financière.
Nous avons néanmoins une pensée pour toutes les personnes atteintes par cette maladie, pour toutes les personnes qui luttent contre elle, et pour les familles de ceux qu'elle a emportée.
L'histoire a commencé par des premières inquiétudes sur l'activité en Chine, notamment dans le secteur de la technologie.
Publications de résultats: qu'attendre de la tech américaine?
Assez rapidement, nous avons publié une première analyse pour évaluer l'impact du virus sur l'investissement et la façon de le gérer par les investisseurs.
Coronavirus: l'impact sur l'investissement (6 février)
Dans un premier temps ignoré par les marchés, ces derniers ont poursuivi leur mouvement de hausse jusqu'au pic du 19 février 2020. Par la suite, le krach pouvait entamer sa course.
Coronavirus: les actifs risqués sous pression
Notre premier guide pour les investisseurs était mis à jour peu de temps après.
Que faire quand les marchés corrigent: l'épisode du coronavirus
Quatre fonds à considérer quand les marchés sont chahutés
Crise du coronavirus: 20 fonds gagnants et 20 fonds perdants
Après une première phase de rebond, nous nous demandions s'il fallait en profiter. Les jours suivants montrèrent que non.
Rebond du marché: faut-il prendre le train en marche ?
Notre analyse après la première décision de la Fed de baisser ses taux directeurs, dont l'impact fut somme toute limité.
Le coronavirus, la Fed et le faux départ de 2020 (4 mars)
La semaine du 9 mars allait commencer sous les plus mauvais hospices. Durant le week-end, l'Arabie Saoudite décidait unilatéralement de rompre les discussions avec ses partenaires de l'OPEP sur de nouvelles réductions de capacités et s'engageait, au contraire, dans une guerre de prix pour mettre à genou son "partenaire" russe.
Un coup fatal pour de nombreux investisseurs, qui allait faire entrer les marchés dans un krach inédit. Certains observateurs ont alors parlé de "double cygne noir", en référence aux événements extrêmes imprévus qui peuvent surprendre les marchés (théorisé par Nassim Nicholas Taleb).
Que faire quand les marchés corrigent: du coronavirus au pétrole
Pétrole: quelles perspectives après la décision saoudienne ?
Certains stratégistes ont évoqué l'idée d'une possible capitulation et des moyens qui lui permettrait de se concrétiser.
Ce qu'il faudrait pour que les marchés capitulent
Nous avons également profité de cette première phase de baisse pour faire un point sur le niveau de valorisation des entreprises européennes de qualité suivies par Morningstar. Elles étaient déjà nombreuses.
82 entreprises européennes de qualité sous-évaluées
Nous avons aussi cherché à comprendre à quel type de marché baissier nous avions affaire.
Dans quelle type de bear market sommes-nous ?
Face au mouvement de panique, et la forte baisse des marchés le 12 mars, nous avons aussi cherché à prendre du recul. A ce moment-là, le scénario d'une récession mondial semblait de plus en plus intégré par les marchés financiers.
Les marchés et la récession (13 mars)
De manière fort intéressante, et sans préjuger de la suite des événements, il semble que l'approche ESG a tous ses mérites dans un environnement de marché chahuté. Ce constat doit être teinté de prudence, car ces stratégies ont gagné en popularité récemment et n'ont jamais vraiment été testées dans des phases de marchés baissiers.
Les fonds ESG protègent mieux dans les phases de krach
Pourquoi les indices ESG surperforment-ils ?
46 entreprises durables de qualité
Un guide pour aider les investisseurs et leurs conseillers à gérer leur stress face au regain de volatilité:
Comment gérer son stress face à la volatilité des marchés
"FOMO", la peur de l'occasion manquée, mal nécessaire
Le rééquilibrage de portefeuille et les "trappes à valeur"
Après la violente phase de correction boursière entre le pic du marché (19 février) et un premier point bas (23 mars), nous faisons également un point sur les performances des secteurs d'activité en Bourse en Europe (à la date du 26 mars). Sans surprise, les investisseurs cherchent refuge dans des secteurs très similaires à la phase de correction boursière de la crise finanicère de 2008.
Face au coronavirus, quels secteurs résistent le plus ?
D'autres idées d'investissement dans le contexte ont émergé après la phase de rebond du 23 au 26 mars 2020, ainsi qu'une tentative de mise en perspective de la situation sur le marché actions américain.
Ces entreprises de qualité, toujours sous-évaluées, qui résistent
Nos commentaires publiés tout au long de cette crise:
Le mieux est l'ennemi du bien (8 avril)
Destruction créatrice (23 mars)
Investir comme en 2008 (19 mars)
Savoir raison garder (16 mars)
Nos analyses sur l'évolution des marchés:
Krach boursier: déjà fini ? (30 mars)
Les profits, juges de paix sur les marchés (24 mars)
Nos analyses sectorielles durant la crise et idées d'investissement:
Biens d'équipement, un secteur solide sur le long terme (9 avril)